Nicolas Nadeau- Hortus
Qui cuisinait chez vous ?
Ma mère.
Qui cuisine à la maison ?
Moi... et ma mère « rire ».
Quel est le plat préféré en famille ?
Quelque chose autour du cochon.
Quel est le plat que vous réclament vos enfants ?
Des pâtes à la crème et à la sauce soja.
Quelle est votre madeleine, le petit plat de votre enfance qui vous fait du bien ?
La fricassée de porc.
Je n’ai pas vraiment eu de déclic, c’est plus sur la longueur. C’est toute mon enfance qui a crée ça, le fait de bien manger, de prendre le temps de manger etc. Tout ça, ça vient de ma famille.
Quand avez-vous su que vous vouliez être chef de cuisine ?
Assez jeune, dès la fin du collège.
L'ingrédient qui ne vous inspire pas ?
L’aubergine
Existe-t-il un aliment ou un plat que vous n’avez jamais gouté ?
Les œufs de 100 ans, il y a pleins de choses asiatiques que je n’ai pas gouté non plus.
Une épice préférée?
Non, pas spécialement.
Si vous étiez un plat ?
Des coquillettes au beurre.
Le produit que vous ne cuisinerez jamais ?
Toujours l’aubergine.
A qui ou à quoi pensez-vous en créant un plat ?
A moi.
Plutôt salé ou sucré ?
Salé.
Quels sont vos rituels en cuisine ?
Café/ clope, non sans rigoler on est tous bourré de tocs, c’est comme aiguiser 15 fois par jour son couteau.
Existe-t-il un restaurant où vous rêvez d’aller ?
Le Noma au Danemark mais ils ont fermé, sinon le Mirazur à Menton, il utilise quasiment que des produits de son jardin, il fait ses plats en fonction des lunes, c’est assez fascinant.
Quel est votre meilleur souvenir gastronomique ?
La truffe de chez Michel Guérard à Eugénie les bains, c’est une truffe entière cuite avec des légumes nouveaux, les légumes ont le goût de truffe et la truffe commence à prendre la chlorophylle des légumes, c’est magnifique.
Qu’aimez-vous le plus dans votre métier ?
Le contact avec les fournisseurs « rire », non c’est une vocation, c’est vraiment un ensemble.
Ma grand-mère.
La phrase qui résume votre vision de la cuisine ?
Le partage, le bon, le plus local possible et surtout ne pas se fermer juste à la cuisine française.
Une passion/ un hobbit?
La littérature et le cinéma
Si vous n'aviez pas été chef, qu'auriez-vous aimé faire ?
Critique gastronomique, c’est vraiment quelque chose qui relie la cuisine et la littérature
Gravlax de saumon,crudités de printemps et fleurs de ciboulette
Sardines confites, caviar d'aubergine et asperges de saison
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